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Affichage des articles du janvier, 2020

Le chaos ... À quoi bon ?

“Il faut porter du chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse”  Ainsi parlait Nietzsche.  J’aimerais revenir sur cette citation, de mes faibles moyens, et de ma petite personne en devenir. Quand je pense à cette phrase, plusieurs images me viennent, émanant ainsi de ces images, parallèlement, des idées. Quand je pense au chaos, je pense au soleil après la tempête. Je voudrais aller plus loin. Je pense à l’art. Échec après échec, je songe à un recul. Reculer pourrait sembler par définition un mot qui évoque un mouvement d’âme péjoratif. Or, je pense que nous parlons ici la grande majorité du temps d’un recul astral: Par conséquent, un moyen ultime de faire un pas de géant. Un petit pas pour l’être, un grand pas pour l’esprit. Un retour en arrière dans les esprits, un grand pas pour le sujet. Il faut porter du chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse. Imaginez-vous… Un objet banal du quotidien, d’apparence futile, habituel. Une machine à laver. Le linge sale u

Hymne à la non-restriction

Amis ! Camarades ! Colocataires, terriens, que sais-je… Laissons libre-cours à l’esprit, sortons du conformisme, trouvons nos au delà, développons les branches subséquent ces limites qui nous sont imposés… Libres nous sommes, les Hommes et ce malgré l’environnement qui les empoisonnent depuis des siècles se doivent d’être UTOPISTES, se doivent d’étendre les limites de l’esprit pour ainsi laisser place à l’évolution intellectuelle ! À bas les beaux discours, à bat l’hypocrisie des dominateurs narcissiques ! Leur éloge n’est rien comparée à la notre, et notre colère un jour se transformera en hargne, qui un jour se transforma, enfin, en force. Qui m’aime me suive ? Amour de soi, ou amour de l’autre… Qu’est ce qu’autrui ? Une construction au travers du Moi ? Amour… Vaste… Débat vain ? J’y reviendrai. Le rêveur est réaliste, puis ce que le rêveur voit, perçoit, sur-interprète, à juste titre. Le rêveur note les sombres recoins, le rêveur réagit plus que quiconque à son environnement

Tant sous l'emprise du temps, que j'y reviens

Temps , revenons-en, au temps. Tant décadent que subtile, tant présent qu’invisible. Indivisible, bien que subdivisant, besoin, nécessité humaine, se rattachant au rationnel tant bien que mal, découpant des périodes de vies, instants, affects. Temporalité, me ramenant, et se rattachant indéniablement à la finalité, finitude contre laquelle nous ne pouvons lutter, l’une des seules fatalité présente ici-bas de ce que j’ai noté.  J’attends le temps qui passe, je perçois, je m’illusionne, mon esprit se cloisonne quand je ris de bon cœur et danse jusqu’au bout de la nuit… Je me ferme à cette harassante réalité et ma lucidité se cloisonne pour ne pas me confronter à cette autre malheureuse fatalité : la souffrance. Je suis né(e) pour souffrir, je suis né(e) pour mourir. Mais par l’évitement de l’angoisse harassante qui nous rattrapera tout un jour, je vis des moments heureux. J’apprends, parfois, par le malheur et la perte, à renforcer mon esprit, par les souvenirs, je revis, je suis pl

Relativisme ?

R E L A T I V I S M E  / R E L A T A N T Coucou, te r’voilà… Il y a peu, j’ai eu un débat à ton sujet. J’ai senti mon égo se gonfler d’espoir quand j’ai tapé mon point sur la table et affirmé mes opinions tout haut sans aucune gêne et/ou hésitation par peur du regard des autres, et/ou manque de confiance en soi. Les gens interprètent tous cela différemment, des opinions totalement paradoxales sur le sujet… J’y reviendrai. On m’a regardé ce soir-là, d’un œil méfiant : “tu es socialiste, non ?” Question piège. Je l’ai senti, tant dans l’intonation de la voix, que dans le regard. J’ai tout de suite cerné la désapprobation de ma personne, ou devrais-je plutôt dire, de mes convictions politiques, et donc par conséquent : les siennes. Alors, instinctivement (peut-être par provocation) j’ai répondu que j’étais marxiste. La réponse "type" du cinquantenaire : c’est normal, tu es jeune. Esprit rebelle… Mince… Je croyais ne plus jamais entendre cette remarque désobligeante, réductrice